Chaque jour, un million de nouveaux utilisateurs entrent sur Internet pour la première fois. La nature multiculturelle de ce phénomène a déchargé l’anglais de son statut de « langue de facto » sur Internet. L’approche de l’utilisateur à travers sa langue maternelle devient une condition indispensable pour tout commerce électronique qui souhaite établir une relation satisfaisante avec un client potentiel.
Il semble logique que, pour amener un commerce électronique à un groupe d’utilisateurs d’une langue donnée, le mieux à faire soit de confier la tâche à un traducteur natif. Cependant, de nombreuses marques et magasins se sont lancés dans la traduction automatique, même s’ils connaissent la qualité provenant de ce processus.
Parmi les conséquences les plus graves de la traduction automatique dans un commerce électronique, on peut trouver :
- Des faux-sens qui génèrent des doutes dans les descriptions et les noms de produits.
- Des erreurs dangereuses dans le contenu juridique et de sécurité.
- De la méfiance à l’égard de la marque, étant donné la mauvaise construction du texte.
- Des utilisateurs ayant une expérience négative durant l’achat.
On pourrait dire que la traduction automatique se transforme en un inconvénient pour ce qui, en principe, devrait accroître le trafic sur le Web et les ventes internationales. De plus, il faut prendre en compte l’importance de la traduction des contenus en termes de référencement, cela attire la confiance des utilisateurs.
La traduction et la localisation du contenu du commerce électronique sont des tâches obligatoires à laquelle toute marque souhaitant se développer doit faire face. Voici les données de l’Observatoire national des télécommunications et de la société de l’information (ONTSI) :
- En Espagne, les acheteurs en ligne dépassent les 15 millions d’utilisateurs.
- La Chine est le marché qui connaît la plus forte croissance.
- La plus grande part va aux États-Unis.
- Le Japon concentre 10 % des achats.
– Les États-Unis et l’Europe de l’Ouest représentent ensemble 60 % des achats en ligne.
L’utilisation d’une traduction automatique pour le contenu d’un commerce électronique, qui comprend des textes techniques et juridiques et des catalogues, n’est pas la bonne option.
Chez BigTranslation, nous recommandons d’utiliser une traduction effectuée par des locuteurs natifs. Seul un locuteur natif peut traduire et localiser le texte correctement pour les utilisateurs de chaque langue. Vous souhaitez rendre international votre commerce électronique ?
Dans quelles langues voulez-vous le traduire ?